En tournant la tête j'aperçois mon père dans l'encadrement de la porte, que j'ai du oublier de fermer dans la précipitation, qui me regarde l'air interdit. Je suis arrivée au point de non retour! Je vais jouir pour la première fois de ma vie et ce sous le regard de mon père!!!
En même temps que la jouissance je sens qu'autre chose vient... Et quand je joui violemment et en hurlant j'envoie sur mon lit un long jet d'urine! Et chose que je n'aurait jamais imaginée, la situation et ma propre pisse, m'excite à un tel point que je joui encore deux ou trois fois en pissant sur mon lit et sous le regard attentif de mon père!

     Un long silence suis ma jouissance. Dans la pièce on n'entend que mon souffle qui est encore court. Je fixe obstinément le plafond, je dois être rouge écarlate, mais que c'était bon!!! Je reprend peu à peu mon souffle en fermant les yeux... J'entend papa s'approcher et s'assoir à côté de moi.
A l'oreille il me chuchote :
     _ Apprès t'avoir vu dans la salle de bain, j'ai été me soulager, maintenant, je ne ferait rien, car je n'ai pas envie de me masturber mais de te prendre ma chérie! Tu es une femme maintenant. Tu es belle.
     Puis il sort sans attendre de réponse. Tant mieux pour moi je n'aurais pas su quoi dire... Qu'as-t-il dit déjà? "Je n'ai pas envie de me masturber mais de te prendre" ; "Tu es une femme maintenant. Tu es belle."... "TE PRENDRE"!
Je me lève d'un bond et ferme la porte aussi doucement que ma précipitation me le permet. Je crois que mon père vient de me dire qu'il à envie de moi...! J'ai à nouveau le souffle court et je sens que quelque chose coule encore de mon vagin... Je crois que je mouille! Je mouille en imaginant la queue de mon père! J'ai envie qu'elle me pénétre! Quelle entre en moi en fasse de long allée et venue de plus en plus fort...
     Sans m'en rendre compte j'ai recommencer à me doigter! J'arrête de suite pour ne pas à nouveau inonder mes drap... Et "je ne ferait rien"... Je me retient pour ne pas recommencer et entreprend de me changer les idées. Je me r'habille et commence les quelques devoir que j'ai à faire.

     Une semaine plus tard, les chose n'ont pas évoluée, au contraire! Depuis que papa m'a vue nous nous évitons et restons le moin possible dans la même pièce. Je ne me suis pas non plus retouchée, car je sais que si je le fais je penserais inévitablement à sa superbe queue...
     Je me demande ce qui nous empêche véritablement de resté dans la même pièce et de nous parler... Est-ce la gêne de se qu'il s'est passé ou... l'envie? Mais pour moi, tout ça c'est l'inconnu, et même l'interdit! Entre membre de la même famille les raport sexuel sont proscrit par les bonnes moeurs et le mariage interdit par la loi! Ce dont je meurt d'envie n'est ni plus ni moin que de l'inceste!!! Oui mais l'envie justement? J'en fais quoi moi? Plus le temps passe et plus j'ai envie! J'ai envie, même je désir de plus en plus mon père! Chaque fois que je le croise ou que je pense à lui ce désir augmente et je m'interdit de la satisfaire!

     Aujoud'hui, papa est rentré plus tot. Il était déjà là quand je suis rentrée du lycée. C'est rare! Surtout depuis une semaine... Je suis tout de suite partit vers ma chambre pour ranger mes affaires de classe et en passant devant la salle de bain, j'ai entendu la douche. Je suis restée figée net. Papa est sous la douche, nu, le corp ruisselant... Je ne connais pas grand chose de son corp, lui m'a vu à moitier nue....
     Doucement je baisse la poignée et risque un oeil vers la douche.... A travers la buée ambiente je distingue son corp. J'aperçoit son grand dos et ses épaules larges, ses fesses bombées et fermes, ses cuisses et ses bras musclé. Mon père à un corp d'athlète, pas trop grasouillé, ni trop musclé, jusque comme je les aime, et je ne m'en était jamais aperçut! Après quelques minutes de contemplation je referme la porte sans bruit et vais dans ma chambre. Après avoir posée mes affaires, je me déshabille et enfile pour tout vétement un pénoire en satin. Puis je rejoin le chambre de mon père et m'allonge dans le lit.
     Je suis à la fois comme dans du coton et à la fois parfaitement sure de moi. J'ai décidée de ne plus me voiler la face. Après tout si il est le seul à m'amoir jamais fait cet effet, il y a une raison! Et puis l'attirence est réciproque, c'est quelque chose d'assez rare quand on y pense. J'ai donc pris ma décision. Ce soir je perdrais ma virgité. Ce soir je me donne à mon père.